Exhibitionniste qui, par bravade, surgit flambant nu lors d’un rassemblement public, généralement un événement sportif. S’écrit avec ou sans trait d’union (nuvite).
« Il risque la prison aux États-Unis pour un nu-vite », titrent Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec du 2 octobre 2014. « Le jeune Québécois qui a traversé un terrain de football américain complètement nu a l’impression d’avoir réalisé un rêve de jeunesse. Mais, dans l’attente de son procès, il craint maintenant d’être emprisonné aux États-Unis.* »
Lors des cérémonies de clôture des Jeux olympiques de 1976 au stade de Montréal, un nu-vite a gaiement gambadé devant 60 000 personnes, les caméras et les téléspectateurs du monde entier.
*Laurin-Desjardins, Camille. « Il risque la prison aux États-Unis pour un nu-vite », Le Journal de Montréal, 2 octobre 2014, p. 6.