Lorsque l’échancrure d’un vêtement laisse entrevoir la raie des fesses ou le rebondi entre deux seins, le Québécois ou la Québécoise se rince l’œil devant une craque.
« Et dire que certaines personnes se plaignent que les jeunes filles commencent jeunes à se montrer la craque des seins ou le nombril qui est à l’air !* »
S’il n’y a plus de vêtements, la craque marque la naissance des foufounes et des boules.
*Commentaire d’une internaute à la suite de l’article « Avril Lavigne se découvre », Voir.ca, 30 mai 2007 — lien.